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ELEVENTH FLOOR

BY MAISSANE FRITZ

QUI SUIS-JE ?

À 21 ans, je suis déjà fort de 5 ans d’expérience dans le monde de l’audiovisuel.

De la haute couture à la politique en passant par la musique et le milieu associatif, mon travail consiste à permettre à des initiatives constructives de montrer leur apport à la société, de façon claire et attractive.

J’ai ainsi monté des vidéos pour des candidats à la dernière campagne municipale, mais aussi des comptes-rendus de colloque à l’Assemblée Nationale, au Sénat et à l’Hôtel de la Région Île-de-France, ainsi que des clips pour Sony Music, et dernièrement des documentaires pour Raid Aventure Organisation.

Je suis ouvert à tout nouveau projet, tant que celui-ci est beau, intéressant, et surtout qu’il porte un message fort, contribue à la cohésion de notre société, et soit générateur de sens tant pour mon commanditaire que pour les spectateurs qui le visionneront.

Ce métier que j’exerce pleinement aujourd’hui a commencé comme un simple passe-temps, suivi d’opportunités qui m’ont incité à poursuivre dans cette voie professionnellement. Son origine plonge même ses racines dans un tout autre univers que l’audiovisuel.

Quand j’ai eu 6 ans, mes parents, tous deux artistes, m’ont inscrit à des cours de solfège, puis de batterie pendant 2 ans à l’école Atla, au pied du Sacré-Cœur. 

Suite à cela, je me suis orienté vers la danse, plus précisément le break dance, discipline dans laquelle j’ai très vite progressé les premières années, justement grâce à mes cours de batterie qui m’avaient habitué à suivre les temps d’une musique. Ce centre d’intérêt est rapidement devenu une passion, avec l’aide de mon professeur qui m’a fait adorer cette pratique à travers sa pédagogie et son amour de la danse.

Cinq ans plus tard, ayant acquis un très bon niveau, j’ai donc souhaité me filmer et poster mes chorégraphies sur Internet. C’est à ce moment-là, à l’âge de 15 ans, que j’ai touché une caméra et un logiciel de montage pour la première fois.

Ensuite, tout s’est enchaîné : les opportunités, les rencontres, et pour finir ma vocation.

Bien sûr, ce n’est qu’une fois ce parcours accompli que j’ai constaté à quel point tout ce que nous faisons est lié. Le solfège, puis la danse, m’ont aidé à devenir un bon monteur, dans la mesure où une vidéo peut être considérée comme une partition où les images et la musique doivent composer ensemble une œuvre belle, plaisante, et/ou efficace selon le désir premier de mon commanditaire.

Chaque nouveau projet me donne l’occasion de me perfectionner et d’exprimer ma créativité tout en respectant un cadre fixe, ce qui révèle tout l’aspect ludique de ce métier.